La chambre

Mardil habitait à environ 1 km de marche de la maison d'Enya. Il fit le trajet tranquillement avec Petite Marie sur son épaule, endormie. Arrivé chez lui, dans sa petite maison en bois de 3 pièces, Mardil se mit à préparer un petit nid douillet avec du coton et une petite couverture en tissu (hj : lol) pour la colombe, en faisant attention de ne pas la réveiller. Il fit cela dans sa chambre, sur la petite table qui lui sert de bureau de temps en temps. Une fois cela prêt, il y déposa délicatement la colombe et il se mit à son tour en tenue pour dormir, se coucha et s'endormit rapidement.

Marie se réveilla ; elle était placée dans un petit nid avec une petite couverture en tissus et un coton pour qu'elle soit installée confortablement. Elle avait dormi suffisament et roucoula doucement en voyant Mardil allongé sur son lit. Elle quitta le nid, s'envola et alla tout près de ce dernier pour le regarder sans le réveiller.

Ensuite, elle décida de faire un petit tour au dehors, histoire de dégourdir ses ailes et de découvrir la forêt.

Mardil dormait à poings fermés quand il avait entendu un léger bruit qui l'avait réveillé. Il avait ouvert les yeux, puis avait vu Petitte Marie s'en aller en volant, faire un petit tour dehors, certainement. Il supposa que le bruit qu'il avait entendu était son roucoulement. Il se leva, il avait assez dormi. Il était environ 10 heures du matin. Il alla dans la cuisine, chercher à boire pour Petite Marie au cas où elle aurait soif à son retour. Il déposa une petite gamelle en aluminium, remplie d'eau près de son nid et aussi un peu à manger pour elle. IL avait également pris de quoi déjeuner pour lui.

Marie était de retour à la maison de Mardil. Elle alla se poser directement sur l'épaule de ce dernier et roucoula de manière affectueusement. Puis, elle vit sur la table une gamelle en aluminium remplie d'eau. Ce geste toucha profondément le coeur de la jeune femme sous la forme d'une colombe. Elle alla boire goûlument puis revint se poser sur l'épaule de Mardil. Cependant, elle avait envie de lui annoncer qu'une dangereuse créature, le warg, se balladait dans la forêt et était à la recherche d'une nouvelle créature. Mais comment lui annoncer cela ! Soudain, elle se souvint que le jeune elfe comprenait le langage des animaux et cela le rassura.

Mardil avait été rassuré de voir Petite Marie revenir assez rapidement. Il n'avait pas envie qu'elle soit de nouveau blessée. Mais il sentit que quelque chose n'allait pas, d'abord à l'attitude de Marie, mais aussi dans la Nature. Il se concentra donc, se mit en tailleur. Petite Marie, sur ses épaules, ne le gênait pas du tout pour cela. Il rentra en communion avec la nature. Quelques minutes plus tard, il avait compris. Il sortir de sa méditation et prit la colombe dans ses mains, gentiment.

- Petite Marie, il est où ? Il est loin d'ici ? Il se dirige vers où ?

Puis il se rendit compte que la colombe ne pouvait pas parler sous cette forme-là.

- Mince !! Vous ne poulez pas parler, sous cette forme là, c'est vrai !! Ecoutez, voici ce que nous allons faire ! Je vais de nouveau entrer en méditation, en communion avec la nature et vous pourrez alors vous mettre à "parler" comme une colombe. Là, je vous comprendrai et vous pourrez donc me raconter où vous l'avez vu.

Mardil savait que Petite Marie avait compris ce qu'il venait de dire, du moins en partie. Il espérait donc qu'elle avait compris l'essentiel et entra de nouveau en méditation.

Marie s'apprêtait à rentrer en contact avec l'esprit de Mardil afin de lui expliquer le warg se dirigeait la cité de Roche Blanche qui était un village beaucoup plus peuplé que La Nouvelle. Mais soudain quelqu'un gratta derrière la porte d'entrée de la maison et la colobme, effrayée, s'envola et alla se posa sur le haut d'un meuble en roucoulant avec crainte. C'était peut-être le warg qui allait s'en prendre à Mardil comme lorsqu'il s'en était pris à son père. Cette vision la remplit d'horreur et elle allait se poser sur l'épaule de Mardil car si celui-ci mourait, elle mourait avec lui car elle l'aimait.

Mardil savait que Petite Marie avait compris ce qu'il venait de lui dire auparavant. Et elle allait commencer à s'exprimer, quand elle la sentit paniquer. Il avait lui-même entendu le grattement à la porte. Mais il resta serein. Il avait senti que ce n'était pas le Warg derrière la porte mais une présence amie.

- Ne vous inquiétez pas Petite Marie. Derrière la porte, ce n'est pas le Warg, mais Khan, le tigre d'Enya.

Et il alla ouvrir la porte de chez lui, laissant entrer le tigre.

(hj : merci d'avoir parlé de Khan Wink

)

Mardil s'adressa à Khan.

- Je ne sais pas si tu comprendras tout ce que je dis Khan. Je sais que c'est le cas de Petite Marie, sous sa forme de colombe. Je sais aussi que tu comprends Enya, mais il se peut que tu la comprennes elle parce qu'elle est ta maîtresse depuis des années. Voilà ce que nous allons faire. Vous semblez avoir tous les deux des choses à me raconter. Khan, si tu as compris ce que je viens de dire, lève la patte avant gauche.

Humaine, Fée Nombre de messages : 100 Date d'inscription : 14/07/2006

En rentrant dans la maison de Mardil, Khan avait auparavant srcuté les alentours autour de lui, afin de vérifier que le Warg n'était pas dans les parages. Puis il entendit Mardil s'adresser à lui et lui demander s'il comprenait ce qu'il disait et le prouver si c'était le cas. Khan s'assit donc sur ses pattes arrière et leva la patte avant gauche. Puis il leva les yeux vers Petite Marie, tout à fait amicalement.

Mardil était rassuré. Khan le comprenait aussi. Cela allait donc simplifier les choses, et il se dit alors qu'Enya l'avait certainement envoyé seul car il avait bel et bien danger, et aussi parce qu'elle savait que Mardil et lui se comprendraient.

- Bien, alors voici comment nous allons procéder. Je vais de nouveau entrer en communion avec la nature et vous allez tous les deux me raconter chacun votre tour ce que vous savez de récent sur notre ennemi, qui n'est pas loin, je le sens. J'ai pu sentir que la Nature était mal.

Mardil s'assit donc à terre, Petite Marie toujours sur son épaule. Il se mit en position du lotus et se concentra. Il se mit à attendre le roucoulement de Petite Marie.

Marie était soulagée que ce n'était pas le warg qui avait frappé à la porte. Elle regarda Khan qui le regardait lui aussi amicalement puis ensuite, s'installa sur l'épaule de Mardil qui s'était adressé à eux. Alors, Marie raconta qu'elle avait vu le warg courir vers un village, un nouveau village avec de nouvelles victimes et ce village, c'était Roche Blanche au pied de la montagne. Puis, elle avait peur, peur du warg car ce warg lui avait fait enlever quelqu'un qu'elle aimait quand elle était petite. Son père !

Mardil avait attentivement écouté Petite Marie faire son récit et parler de la personne qu'elle avait perdue étant petite, à cause de ce satané Warg. Il en fut triste pour elle, mais il devait pour l'instant rester concentrer et écouter ce qu'avait à lui dire Khan. Il ne savait d'ailleurs pas si le tigre avait compris ou pas le récit de Petite Marie, qui était un roucoulement, sous sa forme animale. Il verrait ça après ! Khan pouvait commencer son récit, ce qu'il fit. Il raconta que Mélior, la mère d'Enya avait eu une vision, qu'elle avait vu le Warg dans la forêt, à la recherche de nouveles victimes et que lui, avait été envoyé en éclaireur afin de prévenir Mardil. Une fois le récit de Khan fini, Mardil sortit de sa méditation. Il se tourna vers Petite Marie.

- Je suis désolé pour la personne que le Warg vous a fait perdre, Petite Marie.

Puis il se dit qu'il allait falloir agir maintenant. Et Khan allait l'aider. Il ne savait pas si Enya approuverait ce qu'il allait demander au tigre, mais il le fallait. Il se tourna vers le tigre.

- Khan, tu vas m'aider. Nous allons aller ensemble au Royaume, en passant par le village de Roche-Blanche afin de traquer ce satané Warg, qui va passer un fort mauvais quart d'heure.

Une fois cela dit, Mardil se retourna vers Petite Marie, il se doutait que la jeune femme risquait de s'opposer à ce qu'il voulait faire mais quoi qu'elle dise, il fallait qu'il le fasse.

Marie s'inquiéta pour Mardil ; elle ne voulait pas qu'il parte seul affronter le danger. Elle roucoula afin d'essayer de lui faire comprendre qu'elle désirait venir avec lui, être à ses côtés et le protéger en cas de danger. Si ce dernier mourait, elle serait des remords plus encore que pour son propre père.

Et puis, elle survolerait le ciel, car de là-haut, on pouvait voir tout ce qui se passait sur la terre et qu'on pouvait observer d'un oeil critique tous les dangers et toute la cruaté du monde. Non, elle irait avec lui, qu'il le veuille ou pas.

Mardil s'attendait à cette réaction de la part de Petite Marie. Il savait qu'elle voudrait venir avec lui. Il céda, ne pouvant pas lui refuser, mais il avait cependant peur pour elle. Il tâcha de ne pas le montrer.

- Bien, nous partons donc tous les trois. Je vais prendre mon arc et mon épée.

Mardil se leva du sol, se dirigea vers son armoire où étaient rangés toutes ses affaires et prit son arc. Il prit toutes ses flèches qui étaient environ au nombre de cinquante. Puis il pri aussi son ceinturon qu'il mit à sa taille, le fourreau de son épée et son fourreau. Il mit le tout à sa taille aussi. Il était prêt. Quant à Petite Marie, elle n'avait rien à emporter et Khan non plus.

- Bien, je suis prêt, allons-y.

(hj : poste sur le sentier de la forêt si tu veux Petite Marie, en direction de Roche Blanche)

Une fois arrivée dans la chambre de son bien-aimé, Petite Marie se jeta dans les bras de Mardil, l'enlaça autour du cou puis fixa intensément son regard avant de répondre d'une voix toujours aussi profondément douce :

"Avant le levé du soleil, je me leverai car être une colombe durant toute une journée sans pouvoir te parler m'est insupportable."

Puis, elle posa sa tête sur le torse de Mardil et se laissa aller par cette douce étreinte qui la rassurait tant.

- D'accord ma chérie ! Allez, couchons-nous maintenant ajouta-t-il, car je tombe de fatigue.

Puis il alla derrrière un petit paravent afin de se mettre en tenue pour dormir. Il dormait en tee-shirt et caleçon la plupart du temps. Il était rare qu'il mette un pyjama. Quand il réapparut devant Petite Marie, il la prit dans ses bras, l'embrassa.

- Je n'ai pas de chemise de nuit à te prêter ma belle, mais je dois avoir un tee-shirt qui pourra te servir de chemise de nuit, si tu veux !

Mardil attendit de savoir si la jeune fille était d'accord avec sa proposition avant de sortir le tee-shirt dont il avait parlé.

Petite Marie dormait en général nue. Mais cette nuit-là, ce serait diffèrent car Mardil serait à ses côtés et elle ne pouvait pas se permettre de ne portait rien du tout. Cela le choquerait sûrement.

"Je dormirai avec un tee-hirt, Mardil et dans tes bras si réconfortants, si chauds."

Puis elle lui sourit et attendit qu'elle lui passe un tee-shirt avant de se retrouver sous la couette, collés l'un à l'autre. (hj lol)

(hi hi

)

Mardil serra la jeune femme contre lui, une fois dans le lit.

- Mmmmm, tu sens si bon, ma belle ! L'odeur de ta peau m'ennivre ! Tu sais, je ne regrette pas du tout de t'avoir déclaré mon Amour, je me demande même comment j'ai pu attendre aussi longtemps avant de le faire ! Dit-il en souriant.

Puis une question lui vint à l'esprit.

- Dis-moi, à ce propos, si j'avais cédé à tes avances plus rapidement, cela t'aurait il plus plu ? Ou préfères-tu que j'ai mis de nombreux jours à te montrer que je t'aimais aussi ?

Mardil était fatigué mais souhaitait avoir la réponse à cette question avant de s'endormir, avec dans ses bras, celle qu'il aimait.

Petite Marie se sentit soudain gêné par la question de Mardil qu'elle ne suit pas quoi répondre. En fait, elle ne s'attendait pas à cela, à ce qu'il lui demande cela.

"J'aurais préféré, commença t-elle par dire, les joues empourprées, que tu restes toi-même, que tu apprennes à me connaître avant de tomber amoureux de moi. Et puis, ce n'était pas des avances, mais de la séduction. Je voulais te séduire car je voyais dans tes yeux que tu étais une personne loyable et honnête."

Mardil sourit à la réponse de la jeune femme et l'embrassa sur les lèvres, ses lèvres si pulpeuses.

- J'ai appris à te connaître durant toute cette attente. Mais j'ai souffert aussi car te porter dans mes bras, sans t'embrasser, c'était parfois dur, il fallait que je résiste mais je voulais être sûr de ce que je ressentais pour toi avant de franchir le pas.

Il embrassa de nouveau la jeune femme qui était toujours dans ses bras.

- Allez dormons maintenant ma belle. Et pense à me réveiller avant ta transformation en colombe.

Mardil sourit de nouveau, embrassa Petite Marie dans le cou puis tous deux s'endormirent dans les bras l'un de l'autre.

(hj : quand tu te reconnecteras, tu pourrais nous faire réveiller Petite Marie non ? En disant que plusieurs heures sont passées que l'aube va arriver et que tu réveilles Mardil avant ta transformation... A toi de voir)

Marie ferma les yeux dès l'instant où Mardil la serra dans ses bras. Son coeur était léger durant son sommeil. Elle rêva qu'elle allait devenir mère de famille dont le père était l'homme dont elle était folle amoureuse, qu'elle aurait des jumeaux, un garçon et une fille et que sa malédiction prendrait fin.

Lorsqu'elle ouvrit les yeux, l'aurore s'annonçait... bientôt, elle retrouverait sa forme de colombe. Puis sans savoir pourquoi elle fondit en larme et réveilla son bien-aimé.

"Mardil, lança t-elle, larmes aux yeux. Le jour va bientôt se lever."

Mardil entendit des sanglots près de lui avant d'entendre la voix de Petite Marie lui dire que le jour allait se lever. Il ouvrit les yeux, embrassa sa bien-aimée dans le cou, sur la bouche, essuya ses larmes avec sa main.

- Que se passe-t-il ma douce ? Pourquoi pleures-tu ? Tu as mal dormi ? Tu as fait un cauchemar ?

Mardil s'inquiétait un peu pour elle, mais espérait ne pas trop le montrer.

"Non, je n'ai pas fait un cauchemar. J'ai fait le plus beau rêve de toute ma vie. Que j'allais devenir mère de deux beaux jumeaux. Et que ma malédiction prendrait fin grâce à cette naissance."

Petite Marie ne lui raconta pas pour l'instant que c'était lui qui allait être le père de ces jumeaux, de peur de l'effrayer par la suite.

"Ce rêve était tellement merveilleux que j'ai cru que c'était vrai. Et quand j'ai ouvert les yeux, je me suis aperçu que ce n'était qu'un tissus stupide de ma part pour que tout cette malédiction cesse."

Sur ces mots, elle fondit en larmes.

Mardil était lui-même attristé de voir celle qu'il aimait fondre ainsi en larmes. Il la serra dans ses bras, tendrement, embrassa ses joues mouillées de larmes.

- Ne pleure plus ma chérie ! Cela est peut-être vrai ! En tout cas, ce qui est sûr, c'est qu'il existe un moyen de neutraliser cette malédiction, de la faire disparaître et si ce n'est pas ce que tu penses, je trouverai un autre moyen, je te le promets. Allez, ne pleure plus, tu me rends triste aussi.

Mardil s'arrêta subitement de parler, comme s'il avait subi un choc. Il s'écarta de Petite Marie subitement, il avait ressenti quelque chose dans la nature, que celle-ci allait mal, très mal. Mais comme ce n'était pas le moment de rentrer en méditation, il reporta le regard vers celle qu'il aimait.

- Désolé Petite Marie, mais je viens de ressentir quelque chose au sujet de Dame Nature, elle va très mal, je sens que quelque chose se prépare... Quelque chose de malsain.

Il la reprit dans ses bras avant qu'elle ne se transforme en colombe.

- Ho ma chérie, quoi que nous fassions aujourd'hui, je te demande une chose : de ne pas voler trop loin, de rester dans mon champ de vision, je ne veux pas te perdre, je ne veux pas qu'il t'arrive malheur. Je t'aime tant !

Le ciel commençait à s'éclaircir. Bientôt les premiers rayons de soleil paraîtrait et Marie retrouverait sa forme de colombe blanche. Elle profita de ces dernières minutes d'être étreinte dans les bras de son bien-aimé qui la cajolait. Ce dernier, étant soudain inquiet que quelque chose de malsain se préparait, lui recommanda de ne pas aller trés loin, hors de la limite du périmètre de sécurité.

"Ne t'en fais, mon amour. Je resterai auprès de toi. Je ne veux pas qu'il t'arrive quelque chose de grave, moi non plus. Je t'aime de toute mes forces."

Dans une dernière étreintes, Marie se transforma en colombe. Le soleil avait fait son apparition.

Mardil sourit une dernière fois à sa bien-aimée avant qu'elle ne se transforme puis quelques secondes plus tard, il n'avait plus qu'une colombe dans les mains. Il déposa un baiser à l'emplacement des joues de l'animal et entendit soudainement frapper à la porte de sa Maison. Il dit à Petite Marie qu'il revenait tout de suite. Il alla ouvrir et vit un homme assez jeune portant un message.

[Le messager]
- Vous êtes bien Mardil le Brave ? Je dois lui remettre ceci en mains propres, de la part du Roi.

- Merci, c'est gentil, c'est bien moi en effet.

Mardil lut le message du Roi, lui demandant de venir le plus tôt possible au château.

- D'accord, je prends en note ce que me dit le Roi. Veuillez lui dire que j'accepte ce qu'il me demande. Au revoir et encore merci.

Le messager salua gentiment et partit. Mardil alla rejoindre Petite Marie, lui expliqua qu'il devait aller voir le Roi le plus rapidement possible mais qu'avant, ils allaient tous deux manger quelque chose et se préparer. Ce qu'ils firent en environ une heure. Mardil prit alors celle qu'il aimait, celle pour qui il donnerait sa vie sur l'une de ses épaules et il quitta sa demeure pour se diriger vers le château du Roi qui demandait à le voir.

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